Dans le jargon, on dit plutôt SUP, pour stand up paddle (littéralement pagayer debout). L’activité n’est pas vraiment nouvelle sur le lac du Causse. Voilà même 3 ans que le CSNB (Club de sports nautiques de Brive) en propose chaque été en cours ou location. On a testé pour vous ce matin… C’est franchement très accessible et amusant.
Le stand up paddle, c’est cette longue planche sur laquelle on avance debout, de préférence, à l’aide d’une pagaie. Le sport n’est pas une nouveauté, mais alors pas du tout. Et ça nous vient d’Hawaii. Encore ! A en croire les adeptes, le SUP serait tout simplement l’ancêtre du surf moderne. Il est né du côté de ces lointaines plages paradisiaques en 1960, a très vite été dépassé par l’arrivée des planches courtes pour revenir sur le devant de la scène en 2004 et gagné l’Europe.
“On utilise le SUP depuis longtemps au sein du club, en initiation à la planche à voile pour aider à trouver l’équilibre”, explique JB, le moniteur du CSNB qui encadre la voile et le canoë-kayak. “On s’est mis à le proposer au public pendant l’été, parce qu’on avait de la demande, aussi bien en location qu’en cours.”
Il faut dire que le site est idéal pour débuter : pas trop de vent, pas de vague… “C’est plus facile qu’en mer.” Dans un cadre qui plus est agréable et paisible. “Ça dépend évidemment du sens de l’équilibre propre à chacun, mais on arrive dès la première séance à tenir debout sur la planche, c’est d’ailleurs l’attrait de cette activité”, indique le moniteur en guise d’encouragement. A voir ladite planche doucement dodeliner au grès de l’onde, on en est pas à prime abord convaincu…
“Pas besoin de savoir surfer, juste de savoir nager”, poursuit JB. Ça, on avait déjà compris qu’on tomberait à l’eau. Mais, d’un, “le gilet de sauvetage est obligatoire” pour tous, enfants comme adultes. Et de deux, c’est plutôt rafraichissant par ces chaudes journées. Finalement, c’est vrai qu’on tient rapidement debout sur le destrier. Le truc pour y rester, c’est juste de garder son équilibre en permanence… Plouf, à l’eau ! On recommence. Mieux vaut rester bien au milieu de la planche, une main sur le sommet de la rame. Replouf ! On prend vite le coup pour remonter sur la planche. Ce matin, des jeunes du centre de loisirs de Malemort s’y sont allègrement essayés.
Après quelques jeux pour se familiariser avec la planche, on poursuit avec des petites courses pour pimenter la séance. Le moniteur avait raison: “C’est accessible à tous”. En plus, debout sur la planche, on travaille tout le corps : cuisses, abdos, fessiers, bras… Entre les coups de pagaie, qui font travailler le haut, et les mouvements pour rester debout sur la planche qui sollicitent buste et jambes, vous comprendrez vite que le SUP est un sport complet !
Bref, c’est amusant et relaxant. A tel point qu’on a vite des envies de grand large. “C’est une activité qui se prête à la balade”, confirme JB. On vous la conseille. En plus, le prix est lui aussi accessible: en location, 6 euros la demi-heure, 10 euros l’heure. Mieux vaut tout de même passer par un cours: 20 euros les 2 heures, il y a également des forfaits et des tarifs groupes. Il suffit de contacter le CSNB au 05.55.24.51.58.
A noter que le CSNB propose également en location des pédalos à 2 places (6 euros la demi-heure, 10 euros l’heure), à 4 places (8 euros la demi-heure, 15 euros l’heure), du canoë 2 ou 3 places (7 euros la demi-heure, 12 euros l’heure), du kayak (6 euros la demi-heure, 10 euros l’heure) et en voile Laser ou Optimiste (15 euros la demi-journée).
on rentre juste d’ heure de la location de paddel mais je suis très déçu de l’organisation 3 jeunes pas aimables 2 vieux qui arrivent avec 2 fillettes de 12 et 10 ans pas terrible !!!!!! mais le plus choquant pas de masques les rames vont d’un client à l’autre pas de désinfection quand au gilet de sauvetage le client le pose lui meme au milieu de ceux qui sont sensés etre propre un petit coup de pompe par_ci par_là et le tour est joué
Bonjour, vous avez laissé un commentaire sur un article qui date de 2015. Vous devriez faire remonter vos informations sur le respect des règles sanitaires directement auprès du gestionnaire