Détendez-vous, c’est les vacances. Mieux, prenez soin de vous. Brive plage est là pour vous y aider. Enfin, Muriel surtout. Attention, se laisser masser par ses soins a, selon les plagistes qui sont passés entre ses mains, un petit goût de “reviens-y“. A consommer pourtant sans modération. Muriel, qui a ouvert un institut rue de la République, travaille selon les principes de l’acupuncture. Son massage suit nos méridiens, les canaux d’énergie qui sont désormais reconnus par la médecine. Les considérations sont en train de changer à propos de ces pratiques dites parallèles qui ont une perception globale du corps dans laquelle tout est lié: c’est un principe d’équilibre général. Muriel parle de “bien-être à l’état large”. Son souhait: “amener le principe de la médecine chinoise à l’esthétique”.

C’était pour les faits. Qu’en est-il des effets ? Justement un plagiste s’approche, intrigué. Il s’enquiert du prix. C’est gratuit, le voilà rassuré. Les consignes avant l’installation : “on pose les montres, les portables!” Les corps paraissent d’abord contractés sur le fauteuil puis, peu à peu, les silhouettes se décrispent, les têtes s’affaissent, les mains se délassent. Un quart d’heure suffit, ici, en démonstration en tout cas. L’effet est tonifiant ou relaxant selon l’effet désiré. Muriel agit par pressions, pincements, tapotements; elle se sert de ses coudes, ses poings, ses doigts aussi. Le quart d’heure passé, la satisfaction, la sérénité sont visibles sur les visages. Le massage, façon Muriel, agit sur l’extérieur et ça se ressent à l’intérieur.

Son petit truc: à l’occasion du prochain coup de pompe lors de la réunion de 8h, plutôt que d’ingurgiter une énième tasse de café, pétrissez-vous énergiquement l’extrémité des doigts. Certes, ce n’est ni immédiat, ni magique: l’effet pourrait néanmoins vous étonner. Essayez.

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