Seul, en famille ou entre amis, en connaissance de cause ou de manière inopinée, toutes les manières sont bonnes d’assister à ces concerts qui offrent cette année encore une belle diversité musicale. Lancées par la Ville dans la foulée du confinement, ces moments musicaux ont su séduire et se faire une place dans les rendez-vous culturels brivistes. Les revoici pour une quatrième saison. Cette fois, des groupes prennent le relais des élèves du conservatoire qui assuraient avec leurs professeurs les premières saisons, et offrent en 40 minutes un programme riche et varié.

Don Troop

Les Impromptus débutent le 4 mai avec le blues rock de Don Troop, un artiste qui a commencé la musique à 5 ans dans une école de New York. Après être passé par Los Angeles, puis le Texas et l’Oklahoma, le musicien a joué 15 années dans différents groupes à Paris. C’est son ingénieur du son qui, habitant Brive, lui a fait découvrir la ville.

En juin, place à la world music afro funk de Juvénal Abita. Il est accompagné par son groupe baptisé Les e-migrés. On connaissait le médecin, l’écrivain et poète. On découvre le musicien qui mêle chant, slam et conte. La poésie n’est jamais loin et le rythme, métissé, tout droit venu de l’afro-fusion.

La bonne humeur reste à l’honneur avec les variétés françaises, anglophones et latinos des quatre complices des Rise & Shine comme avec la danse et musique africaine de l’association Akpoukpouty qui va clôturer de manière très rythmée cette nouvelle saison des Impromptus.