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L’épicerie sociale et solidaire vient d’être inaugurée

L’épicerie sociale et solidaire vient d’ouvrir en décembre boulevard Amiral Grivel. Gérée par le CCAS, elle pourrait aider environ 200 à 300 familles brivistes. Installée dans un local acquis par la Ville pour 250.000 euros, l’épicerie a déjà fait l’objet de travaux au rez-de-chaussée. L’étage sera à son tour aménagé dès le printemps prochain pour accueillir, à l’automne, des ateliers (cuisine, art, etc.) à destination des bénéficiaires. Le coût global, achat et travaux, devrait avoisiner les 728.000 euros. Une somme nécessaire pour aider quelque 200 à 300 familles de Brive en difficulté aiguillées vers ce magasin par le CCAS. Lors de l’inauguration le 14 décembre dernier, le maire Philippe Nauche a affiché sa satisfaction de voir aboutir «un projet qui nous tenait à cœur depuis longtemps». Qualifiant cette épicerie de «lieu d’accueil, d’écoute et de solidarité», le maire souhaite qu’elle puisse bénéficier «à d’autres familles des communes environnantes».
Le fonctionnement de ce magasin est celui d’une épicerie classique. Certes, les clients sont envoyés par le CCAS car, pour accéder à l’épicerie, il faut justifier de revenus en deçà d’un seuil bien précis en fonction de la composition du foyer. Mais, en dehors de cet aspect, peu de différence avec une épicerie classique. «Je ne serai pas le travailleur social, je serai l’épicier», tranchait déjà le directeur Jean Monteil avant l’ouverture. A la caisse, le client ne paiera pas le prix fort. «Environ 20% de ce qu’il aurait payer dans un autre commerce», explique l’épicier. Pour l’heure, les denrées sont fournies par la banque alimentaire et par le supermarché Leclerc.
L’acte d’achat fait partie de la démarche d’insertion dont l’épicerie sociale et solidaire n’est qu’un outil. Commerce destiné à un public précaire (personnes ayant subi un changement brutal de niveau de vie, travailleurs pauvres, séniors précaires, jeunes en voie d’autonomisation, etc.) mais ne s’inscrivant pas dans l’urgence, son accès est limité dans le temps (de 3 à 6 mois) car il s’agit d’une aide ponctuelle qui s’intègre dans un démarche globale d’insertion et de normalisation des situations précaires.
L’épicerie, dont l’équipe est composée d’un directeur, d’un agent d’accueil et de quatre employés en CAE, est ouverte tous les après-midis de 13h à 17h30 du lundi au vendredi et le samedi de 9h à 12h.
Plus de renseignements auprès du CCAS au 05.55.17.71.82.

L'épicerie sociale et solidaire était inaugurée tout à l'heure en présence du maire Philippe Nauche, du premier adjoint Patricia Bordas et du directeur Jean MonteilL’épicerie sociale et solidaire vient d’être inaugurée. Située boulevard Amiral Grivel et gérée par le CCAS, elle pourrait aider environ 200 à 300 familles brivistes.

Installée dans un local acquis par la Ville pour 250.000 euros, l’épicerie sociale et solidaire du boulevard Amiral Grivel a déjà fait l’objet de travaux au rez-de-chaussée. L’étage sera à son tour aménagé au printemps prochain pour accueillir, dès l’automne, des ateliers (cuisine, art, etc.) à destination des bénéficiaires.

Inauguration par le représentant du Conseil général (qui a notamment participé via son chantier d'insertion) Michel Da Cunha, Patricia Bordas, Philippe Nauche et le représentant de l'EtatLe coût global, achat et travaux, devrait avoisiner les 728.000 euros. Une somme nécessaire pour aider quelque 200 à 300 familles de Brive en difficulté aiguillées vers ce magasin par le CCAS. Lors de l’inauguration qui vient de s’achever, le maire Philippe Nauche a affiché sa satisfaction de voir aboutir «un projet qui nous tenait à cœur depuis longtemps». Projet dont les intervenants – notamment Michel Da Cunha pour le Conseil général, partenaire – ont souligné qu’il était né d’une proposition du Conseil des Sages. Qualifiant cette épicerie de «lieu d’accueil, d’écoute et de solidarité», le maire souhaite qu’elle puisse bénéficier «à d’autres familles des communes environnantes».

L'épicerie vendra de nombreux produits

Le fonctionnement de ce magasin est celui d’une épicerie classique. Certes, les clients sont envoyés par le CCAS car, pour accéder à l’épicerie, il faut justifier de revenus en deçà d’un seuil bien précis en fonction de la composition du foyer. Mais, en dehors de cet aspect, peu de différence avec une épicerie classique. «Je ne serai pas le travailleur social, je serai l’épicier», tranche déjà le directeur Jean Monteil avant l’ouverture prévue lundi prochain.

A la caisse, le client ne paiera pas le prix fort. «Environ 20% de ce qu’il aurait payé dans un autre commerce», explique l’épicier. Pour l’heure, les denrées sont fournies par la banque alimentaire et par le supermarché Leclerc.

Des produits frais dans les rayons

L’acte d’achat fait partie de la démarche d’insertion dont l’épicerie sociale et solidaire n’est qu’un outil. Commerce destiné à un public précaire (personnes ayant subi un changement brutal de niveau de vie, travailleurs pauvres, séniors en difficulté financière, jeunes en voie d’autonomisation, etc.) mais ne s’inscrivant pas dans l’urgence, son accès est limité dans le temps (de 3 à 6 mois) car il s’agit d’une aide ponctuelle qui s’intègre dans un démarche globale d’insertion et de normalisation des situations précaires.

L’épicerie, dont l’équipe est composée d’un directeur, d’un agent d’accueil et de quatre employés en CAE, sera ouverte dès lundi tous les après-midis de 13h à 17h30 du lundi au vendredi et le samedi de 9h à 12h.

Plus de renseignements auprès du CCAS au 05.55.17.71.82.

L'assistance lors de l'inauguration

Olivier SOULIÉ

Olivier SOULIÉ

2 commentaires

  •    Répondre

    750 000 € ! quand meme

    l’initiative est louable , mais ne pouvait on pas utiliser les locaux de l’ancien garage volvo , laissé libre ?

    et n’y avait il pas un peu de place au 126eme ?

    La mairie de Brive aurait elle trouvé un chequier magique ?

    enfin c’est juste un avis ….

  •    Répondre

    750 000 € ! quand meme

    l’initiative est louable , mais ne pouvait on pas utiliser les locaux de l’ancien garage volvo , laissé libre ?

    et n’y avait il pas un peu de place au 126eme ?

    La mairie de Brive aurait elle trouvé un chequier magique ?

    enfin c’est juste un avis ….

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