L'actualité en continu du pays de Brive


Un concert d’applaudissements pour le nouvel an

Concert du nouvel an

Comme Vienne, Brive a son concert du nouvel an, interprété par l’orchestre et les élèves du conservatoire, musiciens ou danseurs. Il s’est tenu cet après-midi, à l’espace des Trois provinces devant un public acquis. Cette année, une nouveauté, avec la présence de l’harmonie Sainte-Cécile. Tout s’est fini selon la tradition, comme à Vienne, par la Marche de Radetzky… sous un concert d’applaudissements. Et il y a fort à parier que cet air très rythmé trottera un petit moment en tête. Pour nous, c’est déjà le cas.

Concert du nouvel anC’est peu de dire que l’Espace des Trois provinces était comble: 1.400 personnes. Dans le public: les familles, souvent au grand complet, papa, maman, frère ou sœur, grand-parents et même copains et copines, venus soutenir l’artiste de la tribu. Le concert a rassemblé quelque 230 musicien(ne)s ou danseuses, balayant les âges de 10 à… 77 ans, comme dans la chanson.

Les sons africains des djembés ont entonné la partition et chauffé l’ambiance de ce double concert. La première partie était l’œuvre de l’orchestre symphonique du conservatoire pour un conte musical en plusieurs tableaux. La seconde, celle d’un invité inhabituel et ami, l’harmonie municipale Sainte-Cécile, pour des œuvres de musiciens pour la plupart contemporains, Etienne Perruchon, Antonin Dvorak, Steven Reineke, Alfred Reed, James Newton Howard.

Davy DutreixSur la scène, les élèves des classes de danse se sont succédées sur des chorégraphies originales, grimant des chatons joueurs sur Pinocchio ou des sauvages adorateurs sur King Kong. Le tout sous la baguette magistrale de Davy Dutreix, cédée juste le temps de Pilatus à Yann Kerninon.

Du garçon pantin au gigantesque singe, deux heures de partition en notes et pas qui auront séduit les spectateurs de tous âges. Au bout de huit ans, le concert est devenu un incontournable, toujours apprécié du public bienveillant. Jusqu’au final rassemblant les deux formations pour une marche des plus scandées de Strauss, bissée aussi bien côté salle que scène. Rendez-vous est déjà pris pour janvier 2011.

1.400 personnes ont assisté au spectacle

En attendant, date est prise pour le second grand concert annuel organisé par le conservatoire qui rassemblera les chorales du pays de Brive. Il aura lieu le 29 mai prochain à 21h, toujours aux Trois provinces, on vous en reparlera. Mais entre temps, place aux “apéro-concerts” et autres intermèdes du conservatoire.

Le prochain, notez-le: jeudi 25 février à 18h30 à l’auditorium Francis Poulenc pour un concert performance “improvisation” avec notamment Gérard Assayag, chercheur à l’IRCAM pour explorer le domaine de la composition assistée par ordinateur… Infos au 05.55.18.17.91.

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Concert du nouvel an

Marie Christine MALSOUTE

Marie Christine MALSOUTE

4 commentaires

  •    Répondre

    Les percussions africaines et l’harmonie Sainte Cécilze : parfait.
    Pour ce qui est de la partie du conservatoire beaucoup de déception. Les danses ne reflétaient pas Pinochio. Les chorégraphies étaient approximatives… Les personnes qui se trouvaient autour de moi pensaient la même chose. Nous avons été déçus et nous nous sommes un peu ennuyés. Heureusement que la deuxième partie a fait oublier la première. Le Conservatoire nous avait habitué à beaucoup mieux !

  •    Répondre

    Les percussions africaines et l’harmonie Sainte Cécilze : parfait.
    Pour ce qui est de la partie du conservatoire beaucoup de déception. Les danses ne reflétaient pas Pinochio. Les chorégraphies étaient approximatives… Les personnes qui se trouvaient autour de moi pensaient la même chose. Nous avons été déçus et nous nous sommes un peu ennuyés. Heureusement que la deuxième partie a fait oublier la première. Le Conservatoire nous avait habitué à beaucoup mieux !

  •    Répondre

    Le peu de compliments que kiki19 a écrit, relève une présence minime de compréhension et de sens artistique. Sois bien même qu’elle n’est pas aimé, ce que ( en tant que personne )je comprends, mais le premier signe d’intelligence c’est de ne pas critiquer publiquement des commentaires si désobligeant. Savez vous a quel point cela peut blesser un artiste ?
    Quand j’ai lu votre petite intervention tout de suite j’ai pensée que vous n’aviez jamais danser, jamais jouer de quelque instrument que ce soit, et encore moins monter un spectacle de cette envergure.
    Pinochio était une pièce contemporaine difficile, jouée, je vous le rappelle par des enfants ( pour les plus jeunes ) avec 1 ou 2 ans d’expérience. La compassion ne vous est jamais venu à l’esprit et l’admiration du talent de si jeune gens ?

    Avec tout le respect que je vous dois merci de comprendre, le geste de tous ces artistes qui procure du bonheur au spectateur.

    Bonne journée

  •    Répondre

    Le peu de compliments que kiki19 a écrit, relève une présence minime de compréhension et de sens artistique. Sois bien même qu’elle n’est pas aimé, ce que ( en tant que personne )je comprends, mais le premier signe d’intelligence c’est de ne pas critiquer publiquement des commentaires si désobligeant. Savez vous a quel point cela peut blesser un artiste ?
    Quand j’ai lu votre petite intervention tout de suite j’ai pensée que vous n’aviez jamais danser, jamais jouer de quelque instrument que ce soit, et encore moins monter un spectacle de cette envergure.
    Pinochio était une pièce contemporaine difficile, jouée, je vous le rappelle par des enfants ( pour les plus jeunes ) avec 1 ou 2 ans d’expérience. La compassion ne vous est jamais venu à l’esprit et l’admiration du talent de si jeune gens ?

    Avec tout le respect que je vous dois merci de comprendre, le geste de tous ces artistes qui procure du bonheur au spectateur.

    Bonne journée

Répondre à M-J Annuler

1 × un =