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Le kuduro, kesako ?

L'association Briv'Afrique propose des cours de kuduro.

C’est la nouvelle danse à la mode, un mélange entre musiques électronique et africaine. L‘association Briv’Afrique propose désormais des cours pour apprendre cette danse ensoleillée. Rendez-vous les trois derniers samedis du mois au gymnase des Chapélies de 17h à 19h. Vous aurez même droit à un essai gratuit.

Kuduro: trois syllabes qui signifient littéralement “cul dur” en portugais. Tout un programme! Le kuduro nous vient d’Angola, mais on le danse aussi au Cap vert, au Portugal, au Brésil, en Mozambique, en Guyane… Il y serait même la grande mode. Encore peu connu en France, son arrivée semble prometteuse. La prof' surnommée ToupieLa neige a par contre quelque peu éclairci les rangs des amateurs samedi dernier au premier cours mis en place par Briv’Afrique.

C’est très à la mode chez les jeunes“, assure Toupie, la prof de danse, de son patronyme Sandrine Tetede. “Ça permet très vite de se sentir à l’aise dans son corps. Ça libère, on se sent mieux et c’est une porte d’entrée sur la danse africaine.” Emilie vient de tester: “Ça défoule, ça détresse. Ce n’est pas très codifié comme la zumba. Comme on danse sur des musiques qu’on connaît, c’est plus facile, ça porte. KuduroEt Toupie nous aide bien dans la chorégraphie.”

D’un point de vue musical, c’est un mélange de break dance, de semba (l’ancêtre angolaise de la samba brésilienne), de kizomba (un cousin du zouk) et d’électro. Ce melting pot rythmé et engageant peut se danser en ligne avec une chorégraphie similaire au madison, comme le coupé-décalé que Toupie enseigne aussi.

Rendez-vous sur place, au gymnase des Chapélies, les trois derniers samedis, de 17h à 19h. Vous aurez droit à un cours d’essai gratuit. Plus d’infos auprès du président de Briv’Afrique, Alain Ngankam au 06.50.55.29.94.

Marie Christine MALSOUTE

Marie Christine MALSOUTE

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