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Ça avance dans le bon sens à Rivet

Hier soir, en conseil municipal, l’adoption d’une délibération de principe va permettre à l’espace socioculturel de Rivet de développer la dynamique initiée dans le sens de la proximité, de la mixité et du lien social. A condition que la Caisse nationale des allocations familiales qui délivre l’agrément dit “centre social” statue en sa faveur.

A Rivet, qui vient d’être intégré au Contrat urbain de cohésion sociale, l’espace socioculturel, mis en place en 2008, grandit bien. Cet équipement de quartier à vocation sociale, familiale et intergénérationnelle est aussi un lieu d’animations, et ce, de plus en plus.

41 enfants bénéficient déjà de l’accompagnement à la scolarité et une cinquantaine d’enfants suivent des ateliers socioculturels. L’accueil de loisirs sans hébergement, mis en place en février dernier, compte près de 70 jeunes entre 6 et 17 ans et une médiation sociale ainsi qu’une aide à l’insertion et aux démarches administratives ont également été mises en place. Enfin, un local accueillant les jeunes entre 16-23 ans a été ouvert en soirée.

Dernière action menée dans le sens de la proximité, de la mixité et du lien social, la mise en place d’ateliers santé mensuels et gratuits en partenariat avec l’Instance régionale d’éducation et de promotion de la santé (IREPS).

Cette structuration progressive confère au centre une nouvelle dynamique. “La population de Rivet adhère de plus en plus à ce projet pensé sur du long terme et qui vient en complément de notre effort en faveur de l’amélioration visuelle (voirie, entretien) du quartier”, a estimé hier le député-maire Philippe Nauche. “La dynamique de médiation que nous avons initiée commence à porter ses fruits.”

En partenariat avec les habitants, les partenaires institutionnels et les acteurs locaux, l’espace socioculturel a élaboré un projet social, bâti d’après la circulaire de la Caisse nationale des allocations familiales (CAF) qui statue sur la labellisation en délivrant l’agrément dit “centre social”.

La délibération de principe sur les démarches de labellisation du centre ayant été approuvée en conseil municipal hier, reste désormais à la CAF à statuer et à établir la future convention d’objectifs et de financement qui pourrait débloquer des subventions supplémentaires. “Au-delà du critère financier, cet agrément serait la reconnaissance du travail mené depuis 2008”, a indiqué Camille Lemeunier, maire adjoint en charge des centres socioculturels.

A Rivet, qui vient d’être intégrer au Contrat urbain de cohésion sociale, l’espace socioculturel, mis en place en 2008, grandit bien. Cet équipement de quartier à vocation sociale, familiale et pluri-générationnelle est aussi lieu d’animation et d’interventions sociales. Et ce, de plus en plus.
41 enfants bénéficient déjà de l’accompagnement à la scolarité et une cinquantaine d’enfants suivent des ateliers socioculturels. L’accueil de loisirs sans hébergement, mis en place en février dernier, compte près de 70 jeunes entre 6 et 17 ans et une médiation sociale ainsi qu’une aide à l’insertion et aux démarches administratives a également été mise en place. Enfin, un local accueillant les jeunes entre 16-23 ans a été ouvert en soirée.
Dernière action menée dans le sens de la proximité, de la mixité et du lien social, la mise en place d’ateliers santé mensuels gratuits en partenariat avec l’instance régionale d’éducation et de promotion de la santé (REPS).
Une structuration progressive qui confère au centre une nouvelle dynamique.
«La population de Rivet adhère de plus en plus à ce projet qui est un projet à long terme et qui vient en complément de notre effort en faveur de l’amélioration visuelle (voirie, entretien) du quartier», a estimé le député-maire Philippe Nauche. «La dynmique de médiation que nous avons initiée commence à se faire sentir».
En partenariat avec les habitants, les partenaires institutionnels et les acteurs locaux, l’espace socioculturel a élaboré un projet social bâti d’après la circulaire de la Caisse nationale des allocations familiales concernant l’agrément des centres sociaux. La délibération de principe sur les démarches de labellisation du centre ayant été approuvées en conseil municipal, reste désormais à la CAF à statuer sur la labellisation du centre et à établir la future convention d’objectifs et de financement qui pourront débloquer le versement de prestations de service. «Au-delà du financier, ce serait pour nous, la reconnaissance du travail mené par 200!», a indiqué Camille Lemeunier, maire adjoint en charge des centres socioculturels
Jennifer BRESSAN

Jennifer BRESSAN

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